
A suivre.
Oui, douceur remarquable pour la saison, notamment dans le sud. 28°C l'autre jour sur le pays basque !Hervé92 a écrit :La douceur de ces derniers jours a fait remonter les températures assez significativement.
A suivre.
Justement très peu de minimales en dessous de 10°C pendant cette période.ecureuil a écrit :salut thieum ,pour 2014 il y a des similitudes avec 2011 et notamment l’hygrométrie d'octobre.Pour les chocs thermiques ,les amplitudes thermiques pour ce mois en particulier sont énormes ,faisant offices de chocs thermiques .Il se trouve qu'en plaine nous avions des minimales inférieures ou égales a 10° et que les maximales tournaient autour des 25.Le cèpe le plus coutumier a réagir a ces amplitudes est edulis.Cependant cette configuration au départ fut profitable aussi a aestivalis et aereus.L'apport hydrique étant suffisant pour la fructification de ces 2 variétés.Le premier a s’éteindre fut aestivalis .Aereus plus retissant aux sols asséchés était boosté par les maximales de la journée .Quant a edulis les rosées du matin le satisfaisait.Le plus frappant c'est une t° de sol pluton élevée pour une fructification d'edulis.Et pourtant il n'a cessé de se montrer pendant près de 2 mois.Les pics de pousses alternaient avec des petits repos mais sans coupure de processus.Configuration assez similaire en 2011 avec un apport hydrique très conséquent en novembre ce qui a ramené la T° du sol a des valeurs plus conformes pour edulis et du coup amplifiant la fructification.Ce que l'on peut lire dans certains ouvrages ne se vérifient pas vraiment sur le terrain.
jeff
Cyrilus, ce n'est pas tout à fait ce que thieum a dit. Il a dit qu'il n'y avait pas beaucoup de tramontane mais que par contre, il y a eu pas mal de marin qui est un vent très humideCyrilus a écrit :Bonsoir,
Thieum : intéressant de savoir que l'absence de vent a été précurseur d'une pousse exceptionnelle par chez toi. Toutes ces constatations sont riches en enseignement et tellement précieuses pour comprendre le phénomène.
Ecureuil: mes constatations de terrain rejoignent tout à fait les tiennes On globalise en disant que tous les champignons sont assez sensibles au vent mais certains doivent bien tirer profit de cet aléa climato voire même peut être imposer une certaine résistance. La girolle par exemple non ?