

Boarf, je suis pas d'accord...Macrophage a écrit :A part peut être le 5 le reste c'est pas un jeu d'identification, c'est de la voyance extra lucide
Je ne prétends pas être un spécialiste, donc je suis ouvert à tout conseilMacrophage a écrit :Qu'appelles tu pible ou bolet orange?
Et pourquoi n y aurait il pas 150 especes de bolets aux environs de Bordeaux ?!?
Les Leccinum sont souvent difficiles à différencier sans savoir à quels arbres ils sont associés.Sesky a écrit : Pour répondre à ta question, au vu de la photo, et après quelques recherches, le N°4 peut être :
- Leccinum aurantiacum (bolet orangé)
- Leccinum quercinum (bolet orangé des chênes)
- Leccinum versipelle (bolet roux)
On m'a toujours dit que ça s'appelait "Pible", ce qui correspondrait à Aurantiacus. Mais si des experts mycologues ont des arguments contraires, je serai ravi d'être corrigé![]()
Bonne remarque ,en panne d'essuie -tout , le doigt fait tout aussi bien l'affaire .thieum a écrit :J'ai découvert cette année un très bon moyen pour faire la distinction entre edulis et aestivalis et pour le moment cela semble fonctionner à chaque fois.
La différence se fait pour moi grâce à la viscosité du chapeau.
Je prends un essuie-tout humide et je frotte le chapeau du champi...
Si le surface est grasse, humide on a affaire à edulis (même desséchée la cuticule devient visqueuse une fois ré-humidifiée), si elle reste sèche sans viscosité quand on passe le doigt dessus il s'agit d'aestivalis.
Pour le moment c'est un des meilleurs moyens pour distinguer les formes non typiques, par ex edulis sans liseré blanc ou à chair non rougissante (chez les bouchons par ex)
GEGE a écrit :Bonne remarque ,en panne d'essuie -tout , le doigt fait tout aussi bien l'affaire .thieum a écrit :J'ai découvert cette année un très bon moyen pour faire la distinction entre edulis et aestivalis et pour le moment cela semble fonctionner à chaque fois.
La différence se fait pour moi grâce à la viscosité du chapeau.
Je prends un essuie-tout humide et je frotte le chapeau du champi...
Si le surface est grasse, humide on a affaire à edulis (même desséchée la cuticule devient visqueuse une fois ré-humidifiée), si elle reste sèche sans viscosité quand on passe le doigt dessus il s'agit d'aestivalis.
Pour le moment c'est un des meilleurs moyens pour distinguer les formes non typiques, par ex edulis sans liseré blanc ou à chair non rougissante (chez les bouchons par ex)
Fais gaffe, t'as toutes les blondes du forum qui vont porter plainte pour destruction d'ordi à force de passer de l'essuie-tout sur leur écran pour résoudre l'énigme de Sesky (perso je dirai deux edulis)thieum a écrit :J'ai découvert cette année un très bon moyen pour faire la distinction entre edulis et aestivalis et pour le moment cela semble fonctionner à chaque fois.
La différence se fait pour moi grâce à la viscosité du chapeau.
Je prends un essuie-tout humide et je frotte le chapeau du champi...
Si le surface est grasse, humide on a affaire à edulis (même desséchée la cuticule devient visqueuse une fois ré-humidifiée), si elle reste sèche sans viscosité quand on passe le doigt dessus il s'agit d'aestivalis.
Pour le moment c'est un des meilleurs moyens pour distinguer les formes non typiques, par ex edulis sans liseré blanc ou à chair non rougissante (chez les bouchons par ex)