Lole a écrit :Je pense à deux autres explications possibles :
- L'absence ou la plus faible densité du couvert végétal fait que la pluie atteint plus facilement le sol, donc la litière est plus humide qu'à l'intérieur du bois et la vie fongique y est plus intense.
J'aurais employé le mot "précoce" à la place de intense........il est un fait que les chemins , les lisières et les endroits découvert en général reçoivent les premières pluies, le sous bois venant en second lieu et ce ,seulement si les pluies sont abondantes.En début de saison , donc ,pour une même quantité de pluie , on trouvera donc des champignons dans ces endroits découverts , prairies avec ses rosés des prés , chemins, clairières et lisières en forêt.....ensuite si les pluies traversent la couverture végétale viendront les champignons des bois.....bois mélés puis en dernier les péssières denses donneront leurs cèpes .Tout est donc liés en grande partie à l'abondance des pluies . S'il ne pleut pas assez les champignons ne pousseront que dans les endroits clairs, c'est pour cela qu'il ne faut effectivement pas foncer dans les bois à la première averse venue, ce n'est pas là qu'ils sortent en premier .En début de saison , prendre la température fongique dans les chemins et lisières,puis au fur et à mesure des pluies s'enfoncer dans les bois
CQFD
César a parlé
Lt Théorème est simple "Le nombre de champignon est proportionnel à la quantité de flotte tombé sur le sol ( ainsi que de la fourchette de température qui lui convient)Pas d'eau , pas de champignons et tous les adeptes de la lune ne me feront pas changer d'avis

"Il y a plus d'humanité dans l'oeil d'un chien qui remue la queue que dans la queue de Le Pen qui remue son oeil " Desproges